L’Été de 2022

… c’était l’été des rencontres extraordinaires, dont une celle avec Mme A. de Lille, qui visitait notre café en juillet avec son frère.

Bien sûr, on parlait de Marcel Proust, des Madeleines, de la peinture de Vermeer qui se trouve dans notre salon. Mme A. travaille à la bibliothèque de Lille, et Proust, c’est le mémoire de sa jeunesse.

Quelques semaines après cette visite remarquable, elle m’envoyait un e-mail, me demandant un petit texte concernant mon addiction à Proust et la Recherche, qui sera publié sur le site de la bibliothèque en Novembre, marquant le centenaire du mort du maître.

Oh làlà, quel défi ! Mais comme c’est ma passion, maîtriser les défis, j’ai répondu, et voilà, le texte était accepté et va paraître sur le site. J’attends ! Et je vais donner un rapport ici !

Und es gab zahlreiche andere solcher Episoden; dieser Sommer war wirklich geprägt von Besuchen, die den Begriff „Begegnungsstätte“ in ganz neuem Licht erscheinen lassen. So gerne denke ich an den Herrn aus Dresden, der sich auf der Durchreise befand und von einem Café erzählte, das er selbst einmal betrieben hat – bis Corona kam – und das eine andere Besucherin, die zufällig am Nachbartisch saß, bei einer Radtour kennengelernt hatte. Diese Art von Plaudereien bringt mich immer wieder ans Limit, denn man fragt sich doch, wie kommt sowas?

Merci, Mme A., de votre visite, et à la prochaine !